La théorie de l’évolution en BD (partie 2)

Pour commencer l’année en douceur, rien de mieux qu’une superbe BD proposée par Pellentz sur la théorie de l’évolution : comment l’évolution peut-elle produire de nouvelles espèces ? Réponse dans la BD. Bonne lecture ! *La définition des espèces n’est pas toujours aussi simple. Il existe ce que l’on appelle …
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Gènes de robes

les robes chevalines sont déterminées par des gènes. Tout un petit paquet de gènes dont les combinaisons permettront la production des pigments -ou leur absence. Vous voulez savoir comment ça marche ? Alors suivez le guide !   Il existe deux versions d’un gène pour les couleurs de base : le gène E (pour « Extension », c’est le nom qu’on lui a donné) détermine la production d’Eumélanine, pigment responsable de la couleur noire, et le gène e, pour la phéomélanine, de couleur rousse, donnant l’alezan. E est dominant sur e, donc un cheval ayant les allèles (c’est à dire les versions d’un gène, qui comme vous le savez sûrement, sont présents par paire dans nos petites cellules) EE et Ee sera noir. Un alezan, pour être alezan, a forcément les allèles ee. Vous suivez ?   Seulement, il existe un autre gène appelé « Agouti » qui existe en deux versions aussi : A dominant et a récessif. Lorsque le gène est dominant, il modifie la production des pigments en empêchant plus ou moins la fabrication de l’eumélanine noire. Du coup, un cheval ne peut être noir que s’il possède deux versions du gène Agouti récessives -et inactives (s’il est aa, donc). Ce n’est pas donné à tout le monde et c’est pourquoi les chevaux noirs sont assez rares -sauf races sélectionnées pour cela comme les Mérens ou les Frisons.   Donc un cheval ayant au moins un gène E et au moins un gène A ne sera ni noir, ni alezan, il sera bai, c’est à dire more »

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